Les personnages.

 

Reinhardt von Rappolstein 

Blason : « d’argent à trois écus de gueules posés 2 et 1 »

Chevalier ministériel au service de la puissante famille des Rappolstein, une des plus puissantes familles en cette fin du XIIIe siècle alsacien.

Né entre 1260 et 1262 en février (sa mère se rappelle de la neige après l’accouchement, car à l’époque il y avait de la neige, en hiver !), il a participé à l’âge de 16, 17 ou 18 ans à sa première grande bataille, celle du Marchfeld le 26 août 1278 aux côtés de Rodolphe von Habsbourg. Depuis il a cumulé neuf autres grandes batailles, qu’il a toujours gagnées.

Reinhardt a un caractère fort : il enjolive toujours ses souvenirs, il est toujours le meilleur, le plus beau, le plus fort. Il a de jolis vêtements, de belles épées et il adore les exhiber en public, sans en avoir l’air. Frimeur et grande gueule, dirait-on au XXIe siècle.

Il s’énerve vite, mais il est juste et soucieux de justice. Il apprécie grandement les jolies damoiselles, au grand damne de sa femme !

Sujet à éviter : ses cheveux ; certains disent qu’il porte la barbe pour compenser la perte de ses cheveux.

 

 

 

 

Brunehilde von Firdenheim

 

Blason : de sable au griffon d'or.

Chevaleresse ministérielle de l'évêque de Strasbourg, elle est à la tête de son village, Firdenheim (ou Furdenheim) depuis que son époux, Karl, a disparu lors d'une croisade contre les slaves.

Née entre 1273 et 1275, son père se rappelle que c’était « à peu près à l’élection de Rodolphe von Habsbourg, p’têt même un peu après »

Les Firdenheim étant des seigneurs pauvres, possédant un petit château de plaine situé dans le
village même, Brunehilde prend la tête de sa petite troupe de quatre soldats en attendant soit le retour de son mari, soit de trouver un nouveau mari. Elle s'inscrit donc dans la catégorie des très rares femmes de petite noblesse obligées de prendre ponctuellement les armes dans un contexte précis..
Caractère : calme, posée, voire discrète, mais montre très vite au créneau lorsqu'il s'agit de défendre les vertus féminines, et surtout de défendre son rang, en particulier lorsque Reinhardt la traite de « bouseuse » ! En retour elle aime bien taquiner Reinhardt au sujet de ses cheveux, ou lui rappeler que son blason à lui est moche !
Brunehilde saura non seulement vous charmer, mais également vous surprendre par sa capacité à porter les mêmes armes et armures qu'un homme et à se battre aussi bien qu'un homme, prouvant ainsi que le combat n'est pas une question de force pure !

 

 

 

Heinrich von Wandelbourg

 

Blason : d’argent au cerf élancé de gueules.

Ministériel des comtes de Ferrette, il possède le château de la Wandelbourg, à Hirtzbach, dans le Sundgau,
Blason : d'argent au cerf élancé de gueules
Né entre 1274 et 1276, son père se rappelle que c’était « un peu après le couronnement de Rodolphe von Habsbourg » ; a participé à la grande bataille de Wooringen en 1288, aux côtés de l’archevêque de Cologne. Heinrich est encore fougueux, tout jeune, impulsif et parfois (souvent) un peu tête en l'air. Il sait bien se battre et cherche à se tailler une place parmi les grands seigneurs, en particulier depuis la mort de son père, Thomas, qui l’a poussé sur l’avant de la scène.

Il s'énerve particulièrement vite quand on lui fait remarquer que si on lui presse le nez, il y a encore du lait qui en sort ! Et il vaut mieux éviter de lui rappeler que son petit château de plaine est fait uniquement de bois...

Il semble vouloir concurrencer Reinhardt sur certains points, notamment l'art de frimer, et il y arrive fort bien !

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